Mercredi 3 novembre
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23:19
!! Je conseille à ceux qui n'ont pas lu le début (et qui aiment lire) de dérouler
vers le bas pour commencer la première partie !!
LES COMMENTAIRES CRUS SONT APPRECIES
Le matin, ma Maîtresse mit le réveil une heure avant pour moi car je devais me préparer (à nouveau en soubrette) et tout mettre en place pour son petit déjeuner. Comme le repas de la veille, je
la servis en respectant le mieux possible les protocoles.
Quand la table fût nette, ma Maîtresse me rappelle que j'ai une punition à endurer. Elle m'enlève ma robe et me fait mettre à quatre pattes sur la table. Elle m'installe un baillon boule et un
bandeau.
Je reste ainsi quelque temps ne sachant pas ce que fait ma Maîtresse ni quand je serais punie.
Soudain, Une main sur mes fesses : elle caresse. Une autre triture et étire mon sexe.
Ma Maîtresse commente à nouveau mon anatomie...
Elle rajoute que je suis trop moche pour être une soubrette. Il faut commencer ma formation par le b-a-ba; la base : aujourd'hui, je serai une chienne ; une chienne lubrique sans aucun
doute ! Je devrai me déplacer uniquement à quatre pattes avec interdiction de parler.
La punition vint. Elle avait enfilé un gant en latex pour préserver ses mains sensibles d'une douleur inutile. Deux séries de dix claques sur chaque fesse ; avec une toute petite pause entre
les deux séries durant laquelle ma Maîtresse me prodigue des gâteries la où je les aime. En mélangeant ainsi plaisir et douleur, elle espère me faire progresser dans l'algolagnie.
Comme souvent après une punition, ma Maîtresse est toute douce avec moi. Elle enlève le bandeau et le baîllon et m'amène (à quatre pattes) vers le divan où elle me parle doucement comme si
j'étais une petite chienne terrorisée. Elle me caresse gentiment et me présente même sa généreuse poitrine pour que je puisse me consoler. Elle me branle un peu.
C'est déjà finit. Ma Maîtresse cruelle est revenue. Elle me remet le mord ainsi qu'une laisse accrochée à mon sexe. Je suis à quatre pattes dans le salon et elle me met la laisse en bouche en me
disant de ne pas bouger. Elle s'éloigne et je l'entends déplacer des affaires. Pendant ce temps, je constate que je peux tirer sur la laisse, ce qui produit une traction sur mon appareil trois
pièce... Mmmh...
A bientôt pour la suite
julie cochonne soumise
Par julie cochonne soumise
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Mercredi 20 octobre
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10:06
De temps en temps, j'ai la nostalgie du temps où ma Maîtresse était ma soumise... Oui, vous avez bien lu, elle a été ma soumise! Je dois avouer qu'elle n'était pas très docile: toujours en
rébellion, elle n'a jamais (trop) aimé l'humiliation. Complètement éblouie par sa sublime beauté, j'étais incapable de mener à bien un quelconque dressage.
Je me souviens de ses tenues en latex... la simple vue de ces formes généreuses emprisonnées dans leur carquant moulant induisait toujours un gonflement sensible de mon clito.
Comment voulez-vous qu'un cochonne comme moi puisse se tenir devant un tel spectacle?
A cette époque, j'avais libre accès à son corps. Je pouvais malaxer, triturer ou pincer tout ce qui me tombait sou la main. Mais ce que je préfèrais, c'était l'engoder et la dilater pour la faire
jouir.
Sur cette photo, elle jouit pour la deuxième fois. Elle était déjà très gourmande!
Je pouvais enfourner mon petit sexe dans sa bouche et gigoter jusqu'à la jouissance.
Je la positionnais, ligotée, jambes en l'air, de manière à pouvoir enfoncer mes couilles et mon petit dard d'un seul tenant dans sa chatte.
C'était le bon temps.
La voici offerte, présentant ses grosses mamelles et sa vulve gonflée de désir.
Je sens que je vais me faire punir... car maintenant, vous l'avez compris, je suis à ma place biologique. je ne suis plus qu'une petite cochonne soumise à sa maîtresse. La présenter ainsi est un
appel à une sentence justifiée...
Je vous aime Maîtresse
Par julie cochonne soumise
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Lundi 18 octobre
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13:50
Bonjour,
Fiona la truie, dont je vous conseille l'excellent blog ( http://www.travestisoumis.erog.fr ) m'a suggérée de montrer ma croupe à tous et toutes
afin que vous compreniez que je suis une truie dont la chatte est uniquement destinée à satisfaire ma Maîtresse. (et toute bite qui voudrait s'y enfoncer; mais quand j'en rêve [uniquement], je
risque une grosse punition car ma Maîtresse ne m'en donne pas la permission)
Remarquez à quel point ma bite est petite: on ne la voit presque pas. C'est une des raisons principales qui font de moi une cochonne soumise à sa Maîtresse (qui a bien le droit d'abuser comme
elle veut de tous mes orifices, car c'est seulement comme cela que je peux (un peu) la staisfaire)
Julie cohonne à petite bite et chatte acceuillante
Par julie-cochonne-soumise.erog.fr
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Lundi 18 octobre
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13:13
!! Je conseille à ceux qui n'ont pas lu le début (et qui aiment lire) de dérouler
vers le bas pour commencer la première partie !!
LES COMMENTAIRES CRUS SONT APPRECIES
Je suis maintenant allongée sur le dos. Quand ma Maîtresse me positionne comme ça, c'est qu'elle a envie de jouir. En effet, elle me chevauche rapidement. J'ai l'interdiction formelle d'éjaculer
!
Je suis à nouveau pleine d'amour ! Ma Maîtresse s'est laissé aller et je l'ai entendue avoir un orgasme. Je suis si contente de servir à quelque chose.
Avant de dormir, ma Maîtresse veut vérifier si sa précoce a progressé. Elle enlève mon bandeau et se met à quatre pattes. Je dois la prendre par derrière avec interdiction de jouir avant 5 min.
Le lecteur pensera sans doute que ces 5 min sont à la portée de n'importe quel homme. Sans doute ! Mais n'oubliez pas que je suis moins qu'un sous-homme. Je suis une cochonne précoce. De
plus, cette position me met dans tous mes états. Son sexe encore entrouvert entouré par un écrin de fesses rebondies déclenche chez moi une déferlante hormonale incontrôlable.
Chaque détail me met en transe : la cambrure de sa croupe, ses seins lourds qui vont bientôt se balancer au rythme de mes pénétrations, la turgescence de sa vulve offerte sans honte... J'ai
la chance d'avoir une Maîtresse roulée comme une déesse. J'espère, cher lecteur, que vous comprenez mieux maintenant pourquoi, quand ma Maîtresse se laisse prendre dans cette position, je ne dure
guère plus de 30 petites secondes !
Ma Maîtresse m'a promit que si je résistai plus de 5 min, je pourrais, après, lui nettoyer longuement son sexe souillé par ma semence avec ma bouche ; je pourrais tout avaler. C'est
évidement une motivation tout à fait adéquate. Je ferai tout pour y arriver !
A bientôt pour la suite,
julie cochonne précoce
Par julie-cochonne-soumise.erog.fr
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Vendredi 15 octobre
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09:22
!! Je conseille à ceux qui n'ont pas lu le début (et qui aiment lire) de dérouler
vers le bas pour commencer la première partie !!
LES COMMENTAIRES CRUS SONT APPRECIES
[désolé pour le flou, c'est la seule que j'ai où l'on voit que je bois]
Au bout d'une heure et demie, j'ai mal partout. Je suis complètement abasourdie car ma Maîtresse a endossé son rôle avec énormément de cœur et de passion. Petit à petit, mon statut de jouet me
permet d'entrevoir les tréfonds de l'âme de ma Maîtresse car elle ne se donne plus la peine de masquer ses turpitudes devant une poupée, Sa poupée ! Que du contraire.
Je suis finalement délivrée à la fin du film. Curieusement, ma Maîtresse est toute douce avec moi. Elle me délivre et me douche délicatement quand je suis encore assise. Pendant qu'elle m'essuie,
(les yeux toujours bandés) je sens un amour immense croître en moi car c'est elle qui m'a délivrée. Elle me conduit sur le lit et me permet de reposer ma tête sur ses seins voluptueux. Ici plus
que tout, elle perçoit à nouveau le pouvoir qu'elle a sur moi. Et ça lui plait.
Comme je suis gourmande, elle me permet de sucer ses tétons fabuleux pendant qu'elle s'occupe des miens. Sachez cher lecteur que je jouis régulièrement des seins. C'est un plaisir très étrange
qui m'envahit à répétition et qui est souvent plus fort que mes autres modes de jouissance...
Puis, tout d'un coup, elle redevient Maîtresse. Son ton est plus cassant et elle reprend les choses en main. Elle a prévu un petit exercice pour ma précocité. Elle veut me branler pour me
conduire à la limite de la jouissance et tenter de m'y faire rester. Elle me fait donc assoir sur le bord du lit (toujours avec mon bandeau) et commence la manœuvre. Pour augmenter mon
excitation, ses lèvres effleurent mon gland soumis au va et vient de ses doigt habiles.
Elle alterne aussi avec de petites fellations tout en s'occupant de temps en temps de mes seins. C'est un très bon exercice. Je suis contente que ma Maîtresse prenne le temps de former une
cochonne précoce. Il faut absolument qu'elle puisse profiter de moi sans contrainte ! Lorsque je sens que je vais jouir, je dois lever un bras ; et je le relève quand elle peut
continuer à me branler sans risque. Finalement, je ne m'en tire pas trop mal ; je sens que je progresse.
A bientôt pour la suite
Julie la cochonne précoce
Par julie-cochonne-soumise.erog.fr
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