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!! Je conseille à ceux qui n'ont pas lu le début (et qui aiment lire) de dérouler
vers le bas pour commencer la première partie !!

LES COMMENTAIRES CRUS SONT APPRECIES

Maintenant, elle en a marre de s'occuper de moi. Il faut bien que je serve à quelque chose. Oui, je vais servir de pissotière. Seulement vêtue de mes bas, à quatre patte, je suis amenée en laisse dans la salle de douche.

Elle attache ma laisse sur le robinet et me laisse là avec une grand bouteille d'eau que je dois terminer rapidement. Elle a mit le bouchon sur l'évacuation, coupé la lumière et je n'ai pas la permission d'uriner sans son consentement. J'ai les yeux bandés et les mains attachées devant moi. De son côté, elle est enfin à son aise devant son film tout en méditant sur le potentiel de son pouvoir sur moi. Car enfin, si je reste sans broncher dans ces conditions, cela ouvre nécessairement de nouvelles perspectives quand aux multiples possibilités qu'elle a de m'utiliser.
Pour améliorer l'effet, ma Maîtresse a elle aussi bu une bouteille d'eau et doit maintenant se soulager. Elle entre donc dans mon cachot et me fait mettre à moitié assis dans le coin de la douche, les bras en l'air. Ceci afin de pouvoir s'installer debout au dessus de moi et m'asperger abondamment là où ça lui plait.

Quand elle a finit, je lui nettoie le sexe avec ma langue ainsi que toutes les  gouttes sur ses jambes (elle prend ma tête pour la diriger là où je dois lécher).

Pour terminer, elle s'accroupit à côté de la douche, prends mon sexe en main et me permet de pisser. Elle s'amuse à diriger le jet un peu partout sur moi. Quand j'ai finit, elle triture deux minutes mon sexe et mes seins avant de retourner vers son film. Je croupis dans la pisse et dans le noir heureuse d'être enfin prise tel que je suis : une cochonne pisseuse.
Comme ma Maîtresse traine plus de temps que prévu devant son film, je sens un liquide chaud couler sur mes cuisses... je vais certainement être punie. En effet, peu de temps après, lorsqu'elle doit à nouveau se soulager (elle a continué à boire de l'eau), elle constate que je me suis lâchée. Elle est très fâchée ! Elle me dit qu'elle va me faire porter des couches si je continue. Je dois donc boire toute sa pisse. De plus, elle revient avec un plug qu'elle enfonce dans ma chatte. Quand elle repart pour voir la fin de son film, elle me promet deux fois dix claques sur chaque fesses le lendemains.

Voici le résultat: la cochonne est contente:

A bientôt pôur la suite...

Celles ou ceux qui m'ont lu jusqu'ici peuvent poster un commentaire aussi cru qu'ils le désirent...

LES COMMENTAIRES CRUS SONT APPRECIES

J'ai vraiment beaucoup de chance: pour mon anniversaire, ma Maîtresse va me dresser sans interruption pendant deux jours... du vendredi soir au dimanche soir.

Ma Maîtresse a hérité d'une grosse vache sans aucune éducation et sans expérience : c'est à dire votre dévouée, julie la cochonne lubrique. Je suis entièrement soumise à ma vénérée Maîtresse K.

je suis sa seule cochonne. C'est pour cela qu'elle joue exclusivement avec moi, malgré tous mes défauts. Elle doit se contenter de ma petite bite souvent molle, de mon gros ventre adipeux et de ma gourderie sans borne. Pour se défouler, elle se moque de moi et me torture. Lorsqu'elle teste ainsi son pouvoir sur moi, elle récupère le plaisir qu'elle a perdu en héritant d'une soumise si peu enviable.

VENDREDI SOIR

En rentrant du boulot, ma Maîtresse est passée acheter un accessoire dans une boutique osée. Je n'ai aucune idée de ce que ça pourrait être. Un rosebud plus gros ? Une nouvelle cravache ? Une robe vinyle ou latex pour elle ? Une cage avec clef pour mon sexe ? Une cagoule latex avec entonnoir ? Comme vous voyez, j'ai beaucoup d'imagination !

Pendant sa sieste, je suis chargée de faire les courses. Ensuite je dois me préparer et m'habiller en soubrette conformément à ses exigences. Je suis toute excitée à l'idée que ma Maîtresse prenne du plaisir à me faire faire tout ce qui lui passe par la tête. Après m'être apprêtée, je phantasme sur la possible éclosion de pulsions perverses que ma Maîtresse croyait refoulées au plus profond d'elle mais qui prendraient enfin le dessus au cours de ce week-end !

Elle apparaît sur le seuil. Magnifiquement belle et attirante. Elle a son air sévère, et je devine ses penchants sadiques grâce son sourire de circonstance. Elle a revêtue sa combinaison en vinyle (c'est ainsi que ma Maîtresse me fait le plus d'effet). Je sens déjà que ma petite bite durcit.

Elle dit qu'elle veut inspecter la marchandise. Je comprendsle rôle que je dois jouer : Je suis une nouvelle soubrettefournie par une autre Maîtresse et je vais devoir apprendre rapidement les règles (très spéciales) ayant cours dans cette nouvelle maisonnée.

Suivantses ordres, je metsmes mains sur la tête et j'écarte les jambes. Sans crier gare, elle m'enfonce un gros gode dans la bouche.

Elle dit que c'est pour éviter que je ne parle sans son autorisation. Voyant que cette situation m'excite, ma Maîtresse comprends rapidementqu'on lui a refourgué une chienne en chaleur. Elleme traite de salope suceuse de bite. Elle aime visiblement m'insulter et,veut sans doute me faire prendre conscience que je nesuis qu'une trainée toujours en manque de bites.

Je regarde fixement devant moi pendant qu'elle me tourne autour en commentant mon anatomie. Quand elle glose sur mes petits seins, elle s'amuse à les tirer et les pincer, quand elle rit de ma petite bite, elle la tire et la tord. Mes fesses sont écartées et malaxées après que Maîtresse ait vérifié mes talents de suceuse en rentrant et sortant le gode comme bon lui semblait. (Je me demande pourquoi je devrais m'exercer à sucer correctement. Qu'a-t-elle en tête ? )

A bientôt pour la suite

Votre cochonne