De temps en temps, j'ai la nostalgie du temps où ma Maîtresse était ma soumise... Oui, vous avez bien lu, elle a été ma soumise! Je dois avouer qu'elle n'était pas très docile: toujours en rébellion, elle n'a jamais (trop) aimé l'humiliation. Complètement éblouie par sa sublime beauté, j'étais incapable de mener à bien un quelconque dressage.
Je me souviens de ses tenues en latex... la simple vue de ces formes généreuses emprisonnées dans leur carquant moulant induisait toujours un gonflement sensible de mon clito.
Comment voulez-vous qu'un cochonne comme moi puisse se tenir devant un tel spectacle?
A cette époque, j'avais libre accès à son corps. Je pouvais malaxer, triturer ou pincer tout ce qui me tombait sou la main. Mais ce que je préfèrais, c'était l'engoder et la dilater pour la faire jouir.
Sur cette photo, elle jouit pour la deuxième fois. Elle était déjà très gourmande!
Je pouvais enfourner mon petit sexe dans sa bouche et gigoter jusqu'à la jouissance.
Je la positionnais, ligotée, jambes en l'air, de manière à pouvoir enfoncer mes couilles et mon petit dard d'un seul tenant dans sa chatte.
C'était le bon temps.
La voici offerte, présentant ses grosses mamelles et sa vulve gonflée de désir.
Je sens que je vais me faire punir... car maintenant, vous l'avez compris, je suis à ma place biologique. je ne suis plus qu'une petite cochonne soumise à sa maîtresse. La présenter ainsi est un appel à une sentence justifiée...
Je vous aime Maîtresse